1. La Place / Annie Ernaux
Éditeur : Gallimard, 1986
Éditeur : Gallimard, 1986
Éditeur : Gallimard, 1996
"J'ai toujours eu envie d'écrire des livres dont il me soit ensuite impossible de parler, qui rendent le regard d'autrui insoutenable. Mais quelle honte pourrait m'apporter l'écriture d'un livre qui soit à la hauteur de ce que j'ai éprouvé dans ma douzième année"
Éditeur : Gallimard, 1993
Carnet de notes de l'auteur, écrit de 1985 à 1992, au hasard de ses déplacements dans le métro, les hypermarchés, les centres commerciaux. Sorte de radiographie de notre réalité quotidienne.
Éditeur : Gallimard, impr. 2008
Au travers de photos et de souvenirs laissés par les événements, les mots et les choses, Annie Ernaux donne à ressentir le passage des années, de l'après-guerre à aujourd'hui. En même temps, elle inscrit l'existence dans une forme nouvelle d'autobiographie, impersonnelle et collective.
Éditeur : Nil, impr. 2011
A 10 ans, Annie découvre l'existence d'une soeur aînée, décédée à l'âge de 6 ans d'une maladie. Ses parents gardent le secret et jamais elle ne leur posera de questions. Le récit se construit autour de la disparue, entre imaginaire et réalité
Éditeur : Gallimard, 1984
Comment à partir d'une expérience personnelle de retard à l'école, Denise Lesur, personnage narrateur des "armoires vides", le vit comme une humiliation personnelle, puis comme une moquerie envers ses parents et enfin comme l'expression d'une différence de classe sociale
Éditeur : Nil, impr. 2011
Yvetot, un dimanche d'août 1950. Annie a dix ans, elle joue dehors, au soleil, sur le chemin caillouteux de la rue de l'Ecole. Sa mère sort de l'épicerie pour discuter avec une cliente, à quelques mètres d'elle. La conversation des deux femmes est parfaitement audible et les bribes d'une confidence inouïe se gravent à jamais dans la mémoire d'Annie. Avant sa naissance, ses parents avaient eu une ...(Lire la suite)
Éditeur : Belin, DL 2012
À travers ce récit autobiographique, Annie Ernaux évoque ses origines modestes, et retrace son enfance et son adolescence. Dans ce volume, des documents iconographiques pour étudier les liens entre photographie et autobiographie.
Éditeur : Gallimard, impr. 2008
Au travers de photos et de souvenirs laissés par les événements, les mots et les choses, Annie Ernaux donne à ressentir le passage des années, de l'après-guerre à aujourd'hui. En même temps, elle inscrit l'existence dans une forme nouvelle d'autobiographie, impersonnelle et collective.
Éditeur : Nil, impr. 2011
Quand tout a été dit sans qu'il soit possible de tourner la page, écrire à l'autre devient la seule issue. Mais passer à l'acte est risqué. Ainsi, après avoir rédigé sa Lettre au père, Kafka avait préféré la ranger dans un tiroir. Ecrire une lettre, une seule, c'est s'offrir le point final, s'affranchir d'une vieille histoire. La collection "Les Affranchis" fait donc cette demande à ses auteurs :...(Lire la suite)
Éditeur : Gallimard, 1989
"A l'occasion d'un premier amour avec un étudiant gauchiste, une jeune fille d'origine ouvrière, douée pour les études, découvre que ses parents sont bornés, ""aliénés"" (socialement). D'où le titre. Un récit très authentique, écrit dans un style efficace (cru et rudimentaire)."
Éditeur : Nil, impr. 2011
Quand tout a été dit sans qu'il soit possible de tourner la page, écrire à l'autre devient la seule issue. Mais passer à l'acte est risqué. Ainsi, après avoir rédigé sa Lettre au père, Kafka avait préféré la ranger dans un tiroir. Ecrire une lettre, une seule, c'est s'offrir le point final, s'affranchir d'une vieille histoire. La collection "Les Affranchis" fait donc cette demande à ses auteurs :...(Lire la suite)
Éditeur : Gallimard, 1989
Annie Ernaux s'efforce ici de retrouver les différents visages et la vie de sa mère, morte le 7 avril 1986, au terme d'une maladie qui avait détruit sa mémoire et son intégrité intellectuelle et physique. Elle, si active, si ouverte au monde. Quête de l'existence d'une femme, ouvrière, puis commerçante anxieuse de “tenir son rang” et d'apprendre. Mise au jour, aussi, de l'évolution et de l'ambiva...(Lire la suite)
Éditeur : Gallimard, 1991
A partir du mois de septembre l'année dernière, je n'ai plus rien fait d'autre qu'attendre un homme : qu'il me téléphone et qu'il vienne chez moi.
Éditeur : Gallimard, impr. 2008
Au travers de photos et de souvenirs laissés par les événements, les mots et les choses, Annie Ernaux donne à ressentir le passage des années, de l'après-guerre à aujourd'hui. En même temps, elle inscrit l'existence dans une forme nouvelle d'autobiographie, impersonnelle et collective.
Éditeur : Gallimard, impr. 2006
«Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent.Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé ce...(Lire la suite)
Éditeur : Gallimard, impr. 2011
«Écrire n'est pas pour moi un substitut de l'amour, mais quelque chose de plus que l'amour ou que la vie.» 15 janvier 1963 «Cette sensation terrible, toujours, d'être à la recherche de l'écriture "inconnue", comme cela m'arrive de désirer une nourriture inconnue. Et je vois le temps passer, nécessité d'écrire contre le temps, la vieillesse.» 3 août 1990 «Écrire la vie. Non pas ma vie, ni sa vie, ...(Lire la suite)
Éditeur : Éd. du Mauconduit, impr. 2013
Est-ce que, moi, la petite fille de l'épicerie de la rue du Clos - des - Parts, immergée enfant et adolescente dans une langue parlée populaire, un monde populaire. je vais écrire, prendre mes modèles, dans la langue littéraire acquise, apprise, la langue que j'enseigne puisque je suis devenue professeur de lettres ? Est-ce que. sans me poser de questions, je vais écrire dans la langue littérair...(Lire la suite)
Éditeur : Gallimard, impr. 2011
« Écrire n'est pas pour moi un substitut de l'amour, mais quelque chose de plus que l'amour ou que la vie. » 15 janvier 1963 « Cette sensation terrible, toujours, d'être à la recherche de l'écriture "inconnue", comme cela m'arrive de désirer une nourriture inconnue. Et je vois le temps passer, nécessité d'écrire contre le temps, la vieillesse. » 3 août 1990 « Écrire la vie. Non pas ma vie, ni sa ...(Lire la suite)
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