Table des matières

• Avant-propos
  • Nous nous engageons donc
• I. Les raisons du mal-être
  • Le constat : quelques données chiffrées
  • 1. La pression, l’intensification du travail, la culture de l’urgence
  • 2. L’instrumentalisation, la maltraitance institutionnelle
  • 3. L’obsession évaluatrice et la quantophrénie (maladie de la mesure]
  • 4. La multiplication des injonctions paradoxales
• 5. La norme comme idéal et l’exigence du toujours plus
  • 6. L’individualisation, l’isolement, la lutte des places
  • 7. La dégradation de l’amour du métier
  • 8. La perte de sens
  • 9. Des formes de reconnaissance qui génèrent une insatisfaction chronique
  • 10. La menace, l’insécurité et la logique d’obsolescence
  • 11. La crise des valeurs, les malversations et les conflits de loyauté
  • 12. La coupure Top and Down
  • Conclusion
• II. Symptomatologie
• III. Aux origines de la « révolution managériale »
  • 1. Une instrumentalisation du capital humain
  • 2. De la théorie à la pratique
  • 3. Du privé au public
  • 4. Du public à la politique
  • 5. Une idéologie naturalisée.
  • 6. Pourquoi le mal-être empire depuis deux décennies ?
• IV. Comment en sortir ?
  • Ce que chacun peut faire, individuellement
    • D’abord se protéger sans se résigner
    • Comprendre la nature de l’idéologie managériale
    • Refuser le psychologisme et l’individualisation
    • Dénoncer les ravages de la compétition permanente et de la course à l’excellence
    • Apprendre à se dégager des paradoxes
    • Combattre les illusions de la mesure et la fausse objectivité
    • Savoir dire « non ! »
  • Ce que l’on peut faire collectivement
    • Faire confiance au sujet dans l’action collective
    • Redonner du sens à l’activité
    • Contrer le règne de l’expertise des grands cabinets de consultants
    • Repenser l’évaluation
    • Protéger la santé au travail en traitant les organisations pathogènes
    • Redonner au management son rôle central : l’art de la médiation
    • Retrouver le plaisir au travail et l’amour du métier
  • Ce que l’on peut faire politiquement
    • Combattre l’utilitarisme et le positivisme
    • Restaurer la confiance en rééquilibrant les pouvoirs dans l’organisation du travail
    • Lutter contre la « création destructrice »
    • Rééquilibrer les intérêts privés et l’intérêt général
    • Promouvoir l’économie solidaire contre la société de marché
    • Une nouvelle révolution managériale au service d’un monde commun
• Conclusion
• Bibliographie