Votre recherche “Auteur: Michel Arnaud” 19 résultats
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Éditeur :
Arléa , 2012
Au moment de prononcer ses voeux perpétuels, une novice, Margharita Passi, écrit à son confesseur le doute qui l’assaille : elle n’est pas sûre d’avoir la vocation. Le confesseur croit bon d’en informer la mère supérieure du couvent, qui elle-même alerte l’évêque dont dépend le prêtre. Commencent alors des correspondances entremêlées où chacun trahit, surveille et abandonne l’autre.
Partant d’un...(Lire la suite)
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Éditeur :
A. Carrière, 2002
Témoignage de quinze années de lutte d'un jeune homme contre son handicap avec le soutien de sa mère. Il est devenu épileptique, aphasique et hémiplégique à l'âge de 22 ans, à la suite de la rupture d'une artère dans son cerveau
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Éditeur :
Gallimard, 1975
Combien d'années s'est-il écoulé depuis ce lointain après-midi de juin ? Plus de trente. Pourtant, si je ferme les yeux, Micol Finzi-Contini est toujours là, accoudée au mur d'enceinte de son jardin, me regardant et me parlant. En 1929, elle n'était guère plus qu'une enfant, une fillette de treize ans maigre et blonde avec de grands yeux clairs, magnétiques. Et moi j'étais un jeune garçon en culo...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1971
Edgardo Limentani mène à Ferrare une existence désabusée et " végète au fond d'un sombre puits de paresseuse tristesse ". Au cours d'un dimanche de chasse à l'affût, en pleine campagne ferraraise, Edgardo acquiert l'angoissante conscience non pas de mourir, mais d'être déjà mort. Comme certains oiseaux que le fusil dédaigne, comme les hérons, il ne peut garder son allure dans la vie qu'empaillé. ...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1979
Traduit de l'italien par Michel Arnaud.
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Éditeur :
Gallimard, 1975
Combien d'années s'est-il écoulé depuis ce lointain après-midi de juin ? Plus de trente. Pourtant, si je ferme les yeux, Micol Finzi-Contini est toujours là, accoudée au mur d'enceinte de son jardin, me regardant et me parlant. En 1929, elle n'était guère plus qu'une enfant, une fillette de treize ans maigre et blonde avec de grands yeux clairs, magnétiques. Et moi j'étais un jeune garçon en culo...(Lire la suite)
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Éditeur :
Éditions Robert Laffont, 1968
Heureux d'échapper à la monotonie de son académie militaire, le lieutenant Drogo apprend avec joie son affectation au fort Bastiani, une citadelle sombre et silencieuse, gardienne inutile d'une frontière morte. Au-delà de ses murailles, s'étend un désert de pierres et de terres desséchées, le désert des Tartares. A quoi sert donc cette garnison immobile aux aguets d'un ennemi qui ne se montre jam...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1980
"Un jour de janvier de l'an 1941, un soldat allemand marchait dans le quartier de San Lorenzo à Rome. Il savait en tout 4 mots d'italien et du monde ne savait que peu de chose ou rien. Son prénom était Gunther. Son nom de famille demeure inconnu."
Dans cette fresque à la fois historique et populaire, Elsa Morante fait revivre à travers l'histoire d'Useppe, fruit d'un viol commis par un soldat al...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1977
En Italie d'abord où il provoqua un véritable débat national, puis partout où il a été publié dans le monde, le livre d'Elsa Morante a immédiatement été reçu comme l'un des grands romans du siècle : un pendant de La Guerre et la Paix. Il est remarquable que cette audience universelle ne soit en rien fortuite. Le propos déclaré de l'auteur -non sans audace- était de "parler à tous, dans un langage...(Lire la suite)
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Éditeur :
Editions Denoël, 1949
L'infirmière lui prit le menton dans sa main, exactement comme on fait avec les enfants, quand on les interroge sur ce qu'ils désirent, et demanda :
"Ainsi, si je venais cette nuit... cela te ferait plaisir ?"
Luca leva les yeux vers elle et :
"Bien sûr, répondit-il avec simplicité, bien sûr que cela me ferait plaisir."
Droite et immobile, elle le couvait de ses yeux brillants, de ses yeux si jeu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Denoel, 2015
Luca grandit dans l'Italie des années quarante. A l'âge de quinze ans, il ressent un malaise persistant. Il est irritable, le moindre détail le plonge dans une colère monstre. Cette nouvelle réalité, qu'il juge brutale, le pousse à remettre absolument tout en question : l'école, les parents, la religion. Une désobéissance totale qui le conduit à ce qu'il nomme le "désir de mort". A son grand éton...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1978
Trois nouvelles : trois lumières, trois douleurs. De la première phrase du recueil : "À cette époque-là c'était toujours fête", aux derniers mots recouvrant d'un calme linceul le corps d'une suicidée, l'écriture fouille le plein jour de l'activité humaine jusqu'à y toucher le néant et la mort. Un peu comme un oeil fasciné passe et repasse sur la blessure d'un beau visage. C'est la fêlure d'angois...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 2001
"Clelia avait une façon extatique de jouir du soleil, étendue sur les rochers, de se fondre avec ceux-ci et de s'aplatir contre le ciel, répondant à peine d'un chuchotement, d'un soupir ou d'un geste brusque du genou ou du coude aux brèves paroles de la personnes qui était à côté d'elle. Je m'aperçus bientôt que, lorsqu'elle était étendue ainsi, Clélia n'écoutait vraiment rien. Doro, qui le savai...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1955
Trois nouvelles : trois lumières, trois douleurs. De la première phrase du recueil : "A cette époque-là c'était toujours fête", aux derniers mots recouvrant d'un calme linceul le corps d'une suicidée, l'écriture fouille le plein jour de l'activité humaine jusqu'à y toucher le néant et la mort. Un peu comme un il fasciné passe te repasse sur la blessure d'un beau visage. C'est la fêlure d'angoiss...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, DL 2014
Le 27 août 1950, dans une chambre de l'hôtel Roma, à Turin, Cesare Pavese se tuait en absorbant une vingtaine de cachets de somnifère. Sur ce suicide, il n'y a pas de meilleure explication que le journal intime découvert après sa mort : Le métier de vivre. Les réflexions sur le "métier de vivre" qu'on lira ici sont d'une qualité exceptionnelle. L'homme était vraiment à la mesure de l'écrivain, le...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1991
Trieste, quel autre nom que celui-là, ou quel simple mot, pourrait-on écrire au début d'une introduction au grand roman de Quarantotti Gambini ? Il est bien connu qu'en beaucoup d'endroits du monde on a l'impression qu'un vaste corps, et qui n'est pas inanimé, se trouve étendu sur la terre, souvent devant la mer. Les villes, notamment, ont une sorte de personnalité, plutôt féminine que masculine,...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1982
Dans une famille ouvrière italienne réduite au chômage, le grand-père, un colosse qui a travaillé aux tunnels du Simplon et du Fréjus mange trop. On le surnomme "l'Éléphant". Un jour, un terrassier vient partager le repas de ces gens si pauvres. Il offre des anchois et du vin. Il admire les enfants qui "font semblant" de manger, afin de savoir s'y prendre décemment le jour où ils auront à manger....(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1990
« - A quelle heure pars-tu ? me demanda ma mère. La Sicile était devenue immobile et j'en souffrais, je répondis que je voulais arriver à temps pour partir le soir même de Syracuse. - Tu es contente que je sois venu te voir ? lui demandai-je. Et elle me dit : Cela va de soi. Ça fait plaisir de parler avec un de ses fils, au bout de quinze ans... Un bruissement d'eau qui débordait l'amena de nouve...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1990
" A quelle heure pars-tu ? me demanda ma mère. La Sicile était devenue immobile et j'en souffrais, je répondis que je voulais arriver à temps pour partir le soir même de Syracuse. Tu es contente que je sois venu te voir ? lui demandai-je. Et elle me dit : "Cela va de soi. Ca fait plaisir de parler avec un de ses fils, au bout de quinze ans..." Un bruissement d'eau qui débordait l'amena de nouveau...(Lire la suite)