Votre recherche “Auteur: Henri Calet” 6 résultats
Ajouter à une liste
Éditeur :
Le Dilettante, 2002
"Et voilà Calet qui s'en revient, par les soins du Dilettante et de Jean-Pierre Baril, avec sa petite voix, sa grenaille de mots comptés, tassés dans ses phrases courtes, son pas inlassable et son coeur lourd. Un Calet d'après-guerre, qui a vécu de débrouilles et d'opportunités et qui tente de refaire le point, de se faire de nouveau entendre en publiant ses textes dans toute presse accueillante,...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
le Dilettante, impr. 2009
Le voyage en Italie est un genre littéraire. Il nous a valu, de Montaigne à Larbaud, quelques jolies méditations sur les arts, les transports et la gastronomie. C'est conscient de cette tradition qu'Henri Calet, en 1949, effectue le sien. D'emblée, il ne joue pas le jeu. Il enfile bien la Botte, ville après ville, mais, dès qu'approche l'instant élu des friandises culturelles, Calet fait mine de ...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
le Dilettante, 2003
J'aime de plus en plus la jeunesse ; j'en mangerais.
Que pense t-elle de la radio ? Avait-elle des opinions politiques? Avait-elle déjà des vues sur l'amour? Quelles sont les coiffures actuellement à la mode? Quelle sorte de films aimait-elle? Avait-elle un penchant pour certains acteurs ou certaines actrices? Avait-elle un écrivain favori? Quelle était son opinion sur les interprètes? Quel est l...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 1935
Voici un livre où se découvre à l'évidence ce qui fait de son auteur non seulement l'égal de Charles-Louis Philippe ou d'Eugène Dabit, par exemple, mais plus encore, je crois : par son humour laconique et glacé, l'acuité de sa vision, l'imprudence dont à chaque coin de rues de sa prose il fait preuve en pratiquant avec cynisme les tours de bonneteau du langage, un artiste, mieux qu'aucun autre ca...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 1984
"Voici un livre où se découvre à l'évidence ce qui fait de son auteur non seulement l'égal de Charles-Louis Philippe ou d'Eugène Dabit, par exemple, mais plus encore, je crois : par son humour laconique et glacé, l'acuité de sa vision, l'impudence dont à chaque coin de rues de sa prose il fait preuve en pratiquant avec cynisme les tours de bonneteau du langage, un artiste, mieux qu'aucun autre ca...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Gallimard, 2017
Ward était attablé dans la cuisine à demi obscure. Il versait de la cassonnade dans son assiette de soupe au babeurre ; il en versait trop. Anneke se confiait à sa poupée. Nette, adossée au buffet, attendait son heure. La grand'mère, tout contre la buse du poêle, grelottait, la joue sur l'épaule, et palpitait spasmodiquement des mains. Elle avait encore ses fièvres. Nul n'y prenait plus garde. El...(Lire la suite)