Votre recherche “Auteur: Renan” 5 résultats
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Éditeur :
livres-et-ebooks.fr, 1882
(livre du domaine public)
L'homme n'appartient ni à sa langue, ni à sa race : il n'appartient qu'à lui-même, car c'est un être libre, c'est un être moral [...]. La vérité est qu'il n'y a pas de race pure, et que faire reposer la politique sur l'analyse ethnographique est une chimère. Les plus nobles pays, l'Angleterre, la France, l'Italie, sont ceux où le sang est le plus mêlé ! » Souvent cité mais quasiment jamais lu, ce...(Lire la suite)
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Éditeur :
Mille et une nuits, 1997
L'homme n'appartient ni à sa langue, ni à sa race : il n'appartient qu'à lui-même, car c'est un être libre, c'est un être moral [...]. La vérité est qu'il n'y a pas de race pure, et que faire reposer la politique sur l'analyse ethnographique est une chimère. Les plus nobles pays, l'Angleterre, la France, l'Italie, sont ceux où le sang est le plus mêlé ! » Souvent cité mais quasiment jamais lu, ce...(Lire la suite)
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Éditeur :
Perrin, impr. 2011
Regroupant des textes écrits entre 1869 et 1871, La Réforme intellectuelle et morale donne la mesure du choc provoqué dans l'esprit français en 1870 par la victoire de l'Allemagne, dont Ernest Renan avait été jusque-là l'admirateur fervent. De là une réflexion saisissante sur les destinées respectives de la France et de l'Allemagne aux prises avec la violence de l'histoire, dans la perspective d'...(Lire la suite)
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Éditeur :
Michel Lévy Frères, 1863
Aucune apparition passagère n'épuise la Divinité ; dieu s'était révélé avant Jésus, Dieu se révélera après lui...Les manifestations du Dieu caché au fond de la conscience humaine sont toutes du même ordre. Jésus ne saurait donc appartenir uniquement à ceux qui se disent ses disciples ; on lui rend un culte plus vrai en montrant que l'histoire entière est incompréhensible sans lui.
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Éditeur :
Librairie Arthème Fayard - Dept. MILLE ET UNE NUITS, 2014
"Qu’y a-t-il de plus abominable que de se nourrir continuellement de cadavres ?", s’interroge en 1772 un fervent défenseur du végétarisme, qui fait aussi l’éloge de "cette admirable loi par laquelle il est défendu de manger les animaux nos semblables". Contre toute attente, l’auteur de ces propos n’est autre que Voltaire. Le philosophe consacre depuis plusieurs années déjà des pages au sort des a...(Lire la suite)