Votre recherche “Auteur: Assia Djebar” 10 résultats
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Éditeur :
Albin Michel, 2003
« Vingt ans d'exil vont-ils lui paraître irréels, coulée sombre s'évanouissant derrière lui ? Rues en lacis de la Casbah (celles de Pépé le Moko, lui disait en souriant Marise qui ne vint jamais jusqu'ici), il va les revoir dans le clair-obscur de ce vieil Alger, Djazirat el Bahdja, la belle, la glorieuse, si longtemps l'imprenable, la cité des pirates légendaires, bribes d'histoire que sa mémoir...(Lire la suite)
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Éditeur :
Albin Michel, 2002
La présence irradiante de Zoulikha, héroïne oubliée de la guerre d'Algérie, montée au maquis au printemps 1957 et portée disparue deux ans plus tard, après son arrestation par l'armée française, flotte à jamais au-dessus de Césarée.
"Assia Djebar, oscillant entre espoir et désespoir, n'en a pas fini de dire la nuit des femmes et leur lutte pour pouvoir, enfin, regarder le soleil en face."
Le Mon...(Lire la suite)
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Éditeur :
Librairie générale française, DL 2006
Pour Bekrane, la cinquantaine venue, retrouver l'Algérie après vingt années passées en France est à tous égards un défi.
Défi de surmonter une rupture douloureuse avec Marise, sa compagne ; défi de renouer avec son enfance et d'écrire, peut-être, le livre qu'il porte en lui. Défi, enfin, de voir un pays en proie à l'agitation de l'islam intégriste dériver inéluctablement vers la violence et la gu...(Lire la suite)
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Éditeur :
Librairie générale française, 1995
Des chroniques multiples et contrastées entrecroisent des destins de femmes fascinantes ayant évolué dans l'entourage du fondateur de l'islam : bédouines reines de tribus ou prophétesses inspirées, mais également chefs de guerre
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Éditeur :
Librairie générale française, 2002
"Vaste est la prison qui m'écrase", dit la complainte berbère qui ouvre ce roman sur l'Algérie des femmes d'hier et d'aujourd'hui. Comme dans le présent algérien s'entremêlent ici des tragédies, des passions et des mutations, celles de femmes presque toujours en mouvement : la narratrice dans le désert et le silence d'une passion amoureuse, l'aïeule qui à quatorze ans épouse un riche septuagénair...(Lire la suite)
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Éditeur :
A. Michel, impr. 2006
L'amour, la fantasia, Ombre sultane et Vaste est la prison forment les trois premiers volets du "Quatuor d'Alger", vaste fresque aussi singulière que fascinante où s'entremêlent l'histoire algérienne, l'autobiographie et la mémoire des femmes.
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Éditeur :
A. Michel, 1995
Assia Djebar, qui s'est imposée au tout premier rang des écrivains de son pays, l'Algérie, mêle habilement ses propres souvenirs d'enfance à l'évocation du passé lointain, la conquête par les Français en 1830, et du passé récent, la guerre d'indépendance. A travers l'histoire telle que la conte Assia Djebar une vérité enfouie se fait jour, une vérité ancienne, comme au rebut, celle de la femme, d...(Lire la suite)
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Éditeur :
Albin Michel, 2002
En 1832, dans Alger récemment conquise, Delacroix s'introduit quelques heures dans un harem. Il en rapporte un chef-d'oeuvre, Femmes d'Alger dans leur appartement, qui demeure un "regard volé". Un siècle et demi plus tard, vingt ans après la guerre d'indépendance dans laquelle les Algériennes jouèrent un rôle que nul ne peut leur contester, comment vivent-elles au quotidien, quelle marge de liber...(Lire la suite)
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Éditeur :
Points, DL 2012
Printemps 1956. Pour l'Algérie, c'est le temps de la guerre et de la lutte pour l'indépendance. Dans cette ville au flanc d'une montagne, ceux qui combattent risquent l'exil, la prison, la torture, la mort. Les femmes regardent le maquis où leurs maris font la révolution. Assia Djebar fait entendre les cris et les silences de ces femmes qui, tout autant que les maquisards, se sont battues pour vo...(Lire la suite)
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Éditeur :
des Femmes, DL 2007
«Ils m'ont condamnée à mort non parce que j'ai tué - car il y a des milliers de gens qui tuent chaque jour -, non, ils m'ont condamnée à mort parce qu'ils ont peur que je vive. Ils savent que si je vis, je finirai par les tuer. Et de fait, ma vie signifie leur mort, et ma mort leur vie. Or ils sont assoiffés de vie et la vie pour eux, c'est un surcroît de crimes, un surcroît de richesses. Moi, j'...(Lire la suite)