Ces amis qui enchantent la vie : Passions littéraires Jean-Marie Rouart
Résumé
Ouvrage original, puisqu'il mêle portraits d'écrivains et morceaux choisis de leurs meilleurs livres, Ces amis qui enchantent la vie est l'aboutissement et le fruit d'une longue histoire d'amour. Jean-Marie Rouart a toujours eu la passion de la littérature. Depuis sa prime adolescence, elle n'a cessé de l'accompagner. Il a même écrit qu'elle lui avait sauvé la vie, sauvé du désespoir en donnant un sens à une existence qui commençait sous les pires auspices. Grâce à elle, il a pu faire d'une passion une vie, puisqu'il s'y est consacré avec enthousiasme comme écrivain et en tant que directeur du Figaro littéraire pendant vingt ans. Rassemblant 120 écrivains français et étrangers, ne visant pas à rivaliser avec la critique universitaire, ce livre est avant tout celui d'un écrivain. A ce titre, il est subjectif, arbitraire, et cherche moins à donner des notes, des prix d'excellence, à établir des hiérarchies, qu'à mettre en valeur des créateurs sur le seul critère du plaisir qu'ils donnent, de la magie qu'ils font naître. Cet enchantement qui fait d'eux les plus indispensables et les plus fidèles des amis. C'est pourquoi, délaissant souvent les grands boulevards des auteurs consacrés, Jean-Marie Rouart n'hésite pas à suivre les chemins buissonniers qu'empruntent des écrivains plus rares comme Joseph Delteil, Malcolm de Chazal, Luc Dietrich ou Carson McCullers. Il a ainsi voulu rendre hommage à un grand nombre d'entre eux, notables ou non, qui ont fait plus que jalonner son propre parcours de romancier. De ces lectures il a tiré non seulement de grands moments d'ivresse littéraire, mais aussi une leçon de vie. Car c'est bel et bien la vie qui est au coeur de cette entreprise, comme il s'en explique dans sa préface : "Je demandais aux livres : comment fait-on pour vivre, pour aimer, pour être heureux ?" Cet ouvrage est, d'une certaine façon, aussi personnel qu'une confession, aussi intime qu'une autobiographie.
- Auteur :
- Rouart, Jean-Marie
- Éditeur :
- Paris, Robert Laffont, 2015
- Genre :
- Essai
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (1008 p.)
- ISBN :
- 9782221157060.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Préface
Je demandais aux livres :
comment fait-on pour vivre, pour aimer,
pour être heureux ? - LES SOLEILS PAÏENS
- Rabelais : un Bacchus ivre de mots
- « Ce petit paillard pelotait toujours ses gouvernantes, sens dessus dessous, sens devant derrière, hardi bourricot ! »
- De l’adolescence de Gargantua
- Comment Grandgousier reconnut à l’invention d’un torche-cul la merveilleuse intelligence de Gargantua
- « Ce petit paillard pelotait toujours ses gouvernantes, sens dessus dessous, sens devant derrière, hardi bourricot ! »
- Brantôme : le gastronome de l’amour galant
- « Voilà pourquoy ne faut point que les marys pensent autrement réduire leurs femmes après qu’elles ont fait la première fausse pointe de leur honneur, si-non de leur lascher la bride, et leur recommander seulement la discrétion. »
- Restif de la Bretonne : le diable au corps
- « Ce que je venais de voir m’excita au libertinage. »
- Casanova : à la recherche du plaisir perdu
- « Je fis la connaissance de la Charpillon et c’est de ce jour que j’ai commencé à mourir. »
- Nietzsche : la torche vivante de Sils-Maria
- « Le christianisme : C’est l’Orient, l’Orient profond, l’esclave oriental qui se vengeait ainsi de Rome, de sa noble et frivole tolérance. »
- Maupassant : le jouisseur tragique
- « J’aime cette heure froide et légère du matin, lorsque l’homme dort encore et que s’éveille la terre. »
- 6 avril
- « J’aime cette heure froide et légère du matin, lorsque l’homme dort encore et que s’éveille la terre. »
- Colette : le naturel au service de la perversité
- Knut Hamsun : l’écrivain proscrit
- D. H. Lawrence :
le dynamiteur de l’époque victorienne- « Et maintenant dans son cœur s’éveillait l’étrange émerveillement qu’elle avait de lui. »
- Henry Miller :
Dionysos dans le cauchemar climatisé
- Rabelais : un Bacchus ivre de mots
- LES MAGICIENS
- Lewis Carroll :
un professeur d’école buissonnière- « Il lui était déjà arrivé tant de choses extraordinaires, qu’Alice commençait à croire qu’il n’y en avait guère d’impossibles. »
- P.-J. Toulet : un goût de citron vert
- « Ce soir, Nane est vêtue d’un peignoir assez ajusté en crêpe de Chine vert, mais du vert le plus faux, le plus agaçant, le plus délicieux. »
- Pierre Louÿs : la descente aux enfers
- « Je croyais que tu m’aimais d’avantage et que tu te serais tué dans la nuit. »
- Cocteau : un feu d’artifice
- Karen Blixen : l’opium de la légende
- Gary : condamné à l’exil perpétuel
- Blondin : l’enfant gâté du mal de vivre
- Malcolm de Chazal : l’alchimiste des sensations
- Stefan Zweig : l’Européen foudroyé
- Hermann Hesse : la quête de la mère
- Joseph Delteil : un grillon de la garrigue
- Borges : un jeu sur des ruines
- Marcel Aymé : l’enchanteur du réel
- Bachelard : le philosophe buissonnier
- Lewis Carroll :
- LES CŒURS EN ÉCHARPE
- Musset : les insolences d’un enfant perdu
- « L’homme que j’avais surpris auprès de ma maîtresse était un de mes amis les plus intimes. »
- Apollinaire : le troubadour des dames galantes
- « C’est exquis, ces lilas blancs, ces pivoines et ces roses mousseuses comme ton sexe blond. Le bonheur serait là, mais t’y retrouverai-je si je reviens ??? »
- [Nîmes, le] 29 janvier 1915
- [Nîmes, le] 1er février [19]15
- 25 mai 1915
- « C’est exquis, ces lilas blancs, ces pivoines et ces roses mousseuses comme ton sexe blond. Le bonheur serait là, mais t’y retrouverai-je si je reviens ??? »
- Tchékhov : en marge de la vie
- « Il voyait le lever du soleil pour la première fois ; ce matin précoce, ces rayons verts, cette humidité et ces gens aux souliers trempés, tout cela lui paraissait inutile à sa vie et l’oppressait. »
- Fitzgerald : l’ivresse des Années folles
- « C’est ainsi que nous avançons, barques luttant contre un courant qui nous rejette sans cesse vers le passé. »
- Aragon : un adolescent dans une cage de fer
- Rilke : trop fragile pour vivre
- « La vieille et longue maison de maître était trop petite pour contenir cette mort ; il semblait qu’on dût y ajouter des ailes, car le corps du chambellan grandissait de plus en plus. »
- Edmund Wilson :
un frère méconnu de Fitzgerald - Gladys Huntington : la désenchantée du lac
- Musset : les insolences d’un enfant perdu
- LES AMANTS MALHEUREUX
DE L’HISTOIRE- Machiavel : les recettes du pouvoir
- « Il vaut mieux être impétueux que circonspect ; car la fortune est femme : pour la tenir soumise, il faut la traiter avec rudesse. »
- Retz : un frondeur-né
- « Il y eut quelques moments où la Reine contrefit la douce, et elle ne fut jamais plus aigre. »
- Bernis : un convalescent du pouvoir
- « Il faut convenir, à la honte des mœurs, que les femmes qui ont uniquement pour objet le plaisir d’aimer et d’être aimées, ont de moins grands vices que les autres femmes. »
- Chateaubriand : l’enchanteur au cœur multiple
- « L’homme n’a pas besoin de voyager ; il porte avec lui l’immensité. »
- Chute des monarchies. – Dépérissement de la société et progrès de l’individu
- L’avenir. – Difficulté de le comprendre
- « L’homme n’a pas besoin de voyager ; il porte avec lui l’immensité. »
- Stendhal : un conte de fées pour adultes
- « Un peuple tout entier s’aperçut, le 15 mai 1796, que tout ce qu’il avait respecté jusque-là était souverainement ridicule et quelquefois odieux. »
- Benjamin Constant :
un chef-d’œuvre de contradictions- « Mes écrits ont fait sensation, on me distingue partout. Mais ma malheureuse maladie morale m’empêche d’en profiter. »
- Michelet : le poète de l’Histoire
- « D’où date la Sorcière ? Je le dis sans hésiter “Des temps du désespoir”. »
- Taine : l’entomologiste de la Révolution
- « Des hommes réels, nul souci : le Jacobin ne les voit pas ; il n’a pas besoin de les voir ; les yeux clos, il impose son moule à la matière humaine qu’il pétrit. »
- Barrès : l’aigle lorrain
- « À quelques heures de gondole, visitons la brèche où le silence et le vent de la mort, déjà installés, prophétisent comment finira la civilisation vénitienne. »
- Zola : le paratonnerre de la haine
- « Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours. »
- Péguy : un pur dans la mêlée
- « Jaurès : un homme qui est si bien doué pour expliquer tout est mûr pour toutes les capitulations. »
- Drieu la Rochelle : l’élégance du désespoir
- Malraux : le romantisme des révolutions
- Morand : l’homme du monde
- Jünger : l’anarque
- Malaparte : le Michel-Ange de l’horreur
- Orwell : les impostures du progrès
- Déon : le cavalier blessé
- Machiavel : les recettes du pouvoir
- LES BOURLINGUEURS DE L’INFINI
- Loti : un affamé d’horizons
- « J’éprouvai une étrange impression en apercevant près de moi, derrière d’épais barreaux de fer, le haut d’une tête humaine, deux grands yeux verts fixés sur les miens. »
- I
- 16 mai 1876.
- II
- III
- IV
- V
- VI
- VII
- VIII
- IX
- I
- « J’éprouvai une étrange impression en apercevant près de moi, derrière d’épais barreaux de fer, le haut d’une tête humaine, deux grands yeux verts fixés sur les miens. »
- Melville : une croisière de l’âme
- « N’est-ce pas de Nantucket que ces baleiniers autochtones, les peaux-rouges, s’élancèrent d’abord sur leurs pirogues pour donner la chasse au Léviathan ? »
- Jack London : l’éternel chasseur d’azur
- « L’immonde et nauséabond océan où je m’étais fourré s’était refermé sur moi. »
- Conrad : l’échec comme destin
- « Sur la passerelle, Jim se sentait pénétré de la certitude d’une sécurité et d’une paix sans bornes. »
- Cendrars : la poésie des mauvais garçons
- Hemingway : le trompe-la-mort
- Kessel : l’aventurier de haut vol
- Genet : la poésie du mal
- Graham Greene : le touriste du mal
- « Pourtant rien ne m’aurait été plus agréable que d’apprendre qu’elle était malade, malheureuse, mourante. »
- Loti : un affamé d’horizons
- LES ASSOIFFÉS D’ABSOLU
- Isabelle Eberhardt : l’ivresse du naufrage
- « Ce sont les rêves les plus délicieux et les moins chastes qui me visitent maintenant. »
Cagliari, le 1er janvier 1900. - Le 17, samedi.
- « Ce sont les rêves les plus délicieux et les moins chastes qui me visitent maintenant. »
- Luc Dietrich : entre l’ordure et les étoiles
- T. E. Lawrence : le damné de la gloire
- « À la fin, Allenby céda et aussitôt je sus à quel point j’étais triste. »
- Isabelle Eberhardt : l’ivresse du naufrage
- BEAUX ET GRANDS ESPRITS
- Voltaire : tout l’esprit d’un siècle
- « Malheur à une nation qui, étant depuis longtemps civilisée, est encore conduite par d’anciens usages atroces ! »
- Prince de Ligne : le cosmopolite des frissons
- « À la guerre et en amour, il faut savoir ce que l’on veut. Les demi-partis sont détestables. »
- Anatole France : condamné à l’indifférence
- « Pourtant le fatal fauteuil reçut plus d’une fois une femme jeune, belle dans sa pâleur, alors qu’une ombre funèbre, pareille aux voiles de la volupté, noyait ses regards. »
- Valéry : le Bossuet de la IIIe République
- Guitry : le stradivarius de l’esprit français
- Jean d’Ormesson : la passion d’exister
- Voltaire : tout l’esprit d’un siècle
- LES FRACASSEURS DE VITRES
- Rousseau : le paranoïaque législateur
- « Je me levais avec le soleil et j’étais heureux ; je me promenais et j’étais heureux ; je voyais Maman et j’étais heureux ; je la quittais et j’étais heureux. »
- André Suarès : un obsédé de la grandeur
- Bernanos : le grand pourfendeur de mensonges
- Céline : la littérature au lance-flammes
- Rousseau : le paranoïaque législateur
- VOYEURS, PERVERS, NYMPHOMANES
- Samuel Pepys : l’écrivain sans le savoir
- « Là je fis ce que je voudrais avec elle, fort librement, cela me coûta deux shillings de vin et de gâteaux. »
- Maurice Sachs : la passion de l’abjection
- Anaïs Nin : le sexe comme clé
- Samuel Pepys : l’écrivain sans le savoir
- LES MOITRINAIRES
- Montaigne : je doute donc je suis
- « Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous, qui les surpassons en toutes sortes de barbarie. »
- Léautaud : le styliste clochardisé
- Gide : un révolté précautionneux
- Montherlant : un buste
face à la décadence - Pierre Jean Jouve : une écharde dans la chair
- Nourissier : la maladie de la vie
- Cioran : le pessimisme intégral
- Sollers : le système Sollers
- Houellebecq : Dieu, la bouteille et le sexe
- Montaigne : je doute donc je suis
- LE ROMAN DES ORIGINES
- L’Évangile : la plus belle révolution
- « Bienheureux ceux qui sont affamés et altérés de justice, parce qu’ils seront rassasiés. »
- Chapitre V
- « Bienheureux ceux qui sont affamés et altérés de justice, parce qu’ils seront rassasiés. »
- Homère : pas vraiment politiquement correct
- « Je suis saisie d’étonnement : tu as bu cette drogue et tu n’as point subi le charme ! »
- Tristan et Iseult : l’amour jusqu’à la mort
- « Ami Tristan, je vous abandonne mon corps, ma vie, car par mon crime, dans la coupe maudite, vous avez bu l’amour et la mort. »
- L’Évangile : la plus belle révolution
- LES MONUMENTS QU’ON VISITE
- Balzac : le démiurge
- « Dès leur bas âge, les jeunes filles de province ne voient que des gens de province autour d’elles. Elles n’ont à choisir qu’entre des médiocrités. »
- Hugo : le poète qui fut le siècle
- « Foudroyer d’un tel mot le tonnerre qui vous tue, c’est vaincre. »
- Flaubert : le pape de la littérature assise
- « Tout ce qu’il faut avoir avalé de miasmes écœurants, subi de chagrins, enduré de supplices, pour écrire une bonne page ? »
- [Croisset] Dimanche soir, 1 heure [18 décembre 1853]
- [Croisset] Nuit de vendredi, 2 heures [23 décembre 1853]
- « Tout ce qu’il faut avoir avalé de miasmes écœurants, subi de chagrins, enduré de supplices, pour écrire une bonne page ? »
- Tolstoï : les ombres d’une légende dorée
- « Pourquoi ce désespoir de quitter la vie ? Il y a donc dans cette vie quelque chose que je n’ai pas compris ? »
- Dostoïevski : l’exorciste du mal
- « J’affirme que le meilleur homme du monde peut s’endurcir et s’abrutir à tel point que rien ne le distinguera d’une bête fauve. »
- Proust : un Prométhée du cœur
- « C’était bien en effet toutes les inquiétudes éprouvées depuis mon enfance qui, à l’appel de l’angoisse nouvelle, avaient couru la renforcer, s’amalgamer en elle en une masse homogène qui m’étouffait. »
- Faulkner : l’enfer du Sud
- Yourcenar : superbement seule
- Kafka : la prescience de l’horreur
- Simenon : un écrivain mène l’enquête
- Balzac : le démiurge
- LES MOTS AU POUVOIR
- César : le génie tous azimuts
- « César avait tout à faire à la fois. »
- Napoléon : l’empereur des mots
- « Je sens l’infini en moi. »
- De Gaulle : le commandeur des Lettres
- César : le génie tous azimuts
- LES NOSTALGIQUES DE L’AILLEURS
- Baudelaire : l’errance d’un désenchanté
- « S’il existe un phénomène évident, trivial, toujours semblable, et d’une nature à laquelle il soit impossible de se tromper, c’est l’amour maternel. »
- Gobineau : un aristocrate égaré dans l’idéal
- « Je puis être mélancolique, sentimental, amoureux, voleur, escroc, honnête, stupide, fou. »
- Berberova : une rescapée du silence
- Gracq : un bain d’éternité
- Michel Mohrt : reflets dans un œil bleu
- Gombrowicz : l’exil est son royaume
- Giono : l’universel sur le pas de la porte
- Nabokov : une patrie dans les mots
- Duras : l’impératrice du silence
- Modiano : le passé recomposé
- Baudelaire : l’errance d’un désenchanté
- LES POLÉMISTES À POIL DUR
- Bloy : un croisé moderne
- « Flaubert : ce fauve concubin des lexiques et des dictionnaires travailla, tant qu’il fut sur terre, à l’extermination de sa propre personnalité. »
- Maurras : le maudit
- « Quand Rousseau écrivait, il usurpait les attributs du prince, ceux du prêtre et ceux même du peuple entier. »
- I. – Grandeurs passées
- II. – Du seizième siècle au dix-huitième
- III. – Les lettrés deviennent rois
- IV. – L’abdication des anciens princes
- « Quand Rousseau écrivait, il usurpait les attributs du prince, ceux du prêtre et ceux même du peuple entier. »
- Léon Daudet : un méridional en effervescence
- « En vérité j’ai habité Judet, j’ai judeté dans sa judetière, comme judouillard de judoire, et tout ce que je vais conter ici n’est que suc, quintessence, distillation de ce vain colosse. »
- André Rouveyre : la rage de mordre
- Bloy : un croisé moderne
- LES MODERNES ENGAGÉS
- Barbusse : un Barrès de gauche
- « C’est une blessure, et c’est presque une blessure de voir la bouche d’une femme. »
- Mauriac : un chrétien tout feu tout flamme
- Camus : l’homme déchiré
- Nizan : le militant rebelle
- Barbusse : un Barrès de gauche
- PRINTEMPS FOUDROYÉS
- Radiguet : l’amour contre la guerre
- « Je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle. »
- Nimier : l’éternel jeune homme
- Carson McCullers : grande brûlée de la solitude
- Radiguet : l’amour contre la guerre
- REMERCIEMENTS
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