De l'inconvénient d'avoir trop d'amis Plutarque présenté par Vincent Delecroix [traduit du grec par Dominique Ricard]

Résumé

"On voudrait que le lecteur fût d'abord sensible à cela : l'atmosphère amicale, la parole circulante, les rires, les emportements et les apartés, peut-être les clins d’œil, peut-être le cratère, la grande coupe dans laquelle on mélangeait le vin, qui silencieusement passe de main en main. Toutes choses qui sont un peu plus que les circonstances en donnant la parole ; car ces choses-là, en un sens, sont au cœur de cette parole, au cœur des débats, puisqu'il y est notamment question d'amitié et que l'amitié trouve dans ce rituel l'une de ses expressions et l'un de ses lieux privilégiés. "VINCENT DELECROIX

Auteur :
Plutarque (0046?-0120?)
Editeur scientifique :
Delecroix, Vincent (1969-....) ; Ricard, Dominique (1741-1803)
Éditeur :
Paris, Flammarion,
Collection :
GF
Genre :
Essai
Langue :
français.
Note :
Le dos du livre porte le numéro 6
Description du livre original :
1 vol. (278 p.) ; 18 cm
ISBN :
9782081339088.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Faire société
    • Où l'on parle de n'importe quoi, mais pas n'importe comment
    • L'espace de la conversation
    • Où se trouve la philosophie ?
    • Un autre paradigme pour la philosophie ?
  • De l’inconvénient d’avoir trop d’amis
  • Les moyens de distinguer le flatteur avec l’ami
  • De ceux qui invitent à leurs repas un grand nombre de convives
  • Pour quelle raison invite-t-on aux repas de noces un grand nombre de convives ?
  • Pourquoi les gens qui ne sont qu’à moitié ivres paraissent-ils plus troublés que ceux qui le sont entièrement ?
  • Comment on peut se louer soi-même sans s’exposer à l’envie
  • Comment tirer profit de ses ennemis
  • Sur la démangeaison de parler
  • S’il faut traiter à table des matières philosophiques
  • Qu’elles sont les questions et les plaisanteries qui sont agréables ou déplacées dans un repas ?
  • Si c’est une coutume louable que de traiter à table des affaires publiques
  • Que l’usage de délibérer à table sur les affaires publiques avait lieu chez les Grecs comme chez les Perses
  • Si celui qui donne à manger doit placer lui-même ses convives, ou les laisser se placer chacun à son gré
  • Si l’usage où étaient les anciens de servir en particulier chaque convive était préférable à celui de les servir en commun, comme on fait aujlourd’hui
  • Pour quelle raison est-on serré à table au commencement du repas, et pourquoi à la fin s’y trouve-t-on au large ?
  • S’il est convenable d’aller manger chez autrui sans y être invité ; quand et chez qui il est permis de le faire
  • De ceux qui viennent tard à table, et de l'étymologie des trois mots qui expriment le déjeuner, le dîner et le souper
  • Notes

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