Le grand royaume des ombres Arno Geiger Olivier Le lay

Résumé

Au mitan de la Seconde Guerre mondiale, auprès du lac autrichien de Mondsee, le jeune soldat viennois Veit Kolbe goûte quelques mois de convalescence. Au coeur de ce paysage alpin qui ferait presque oublier les combats, et grâce à l'amitié qu'il tisse avec sa voisine Margot, les forces lui reviennent. Mais la menace rôde comme une ombre et peut s'abattre de la façon la moins attendue. Dans le camp pour jeunes filles évacuées installé au bord du lac, une adolescente disparaît soudainement, mettant la petite communauté en émoi, tandis que les échos de la guerre, qui paraissaient pourtant lointains, se font plus réguliers et inquiétants. Tissant ensemble les voix de personnages complexes et attachants auxquels il est difficile de ne pas s'identifier, Arno Geiger nous révèle leur quotidien à mesure que la défaite approche. Roman à la fois sensible et épique, intimiste et historique, Le grand royaume des ombres brosse subtilement le vaste portrait d'une société sur le point de vaciller et nous montre comment la vie, même dans les moments les plus terribles, peut laisser éclore une forme de douceur.

Auteur :
Geiger, Arno
Traducteur :
Le lay, Olivier
Éditeur :
[Paris], Gallimard,
Genre :
Roman
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (496 p.)
ISBN :
9782072787720.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • DANS LE CIEL, TOUT LÀ-HAUT
  • DEPUIS MON DERNIER SÉJOUR
  • À UNE DEMI-HEURE DE TRAIN DE SALZBOURG
  • TANDIS QU’ON INSTALLAIT LE NOUVEAU POÊLE
  • APRÈS UN BREF ET FALLACIEUX INTERMÈDE
  • AU PETIT MATIN, JE ME SUIS APPUYÉ
  • VENDREDI DERNIER, À DARMSTADT
  • COMME JE DESCENDAIS DU TRAMWAY
  • COMMENT JE ME PORTE ?
  • DES TOURMENTES DE NEIGE PENDANT TOUTE LA JOURNÉE
  • MARS AVAIT ÉTÉ D’UNE EXCEPTIONNELLE FRAÎCHEUR
  • LE JOUR DE VISITE DES PARENTS D’ÉLÈVES
  • LE BRÉSILIEN NE FUT PAS ARRÊTÉ EN PLEINE NUIT
  • DANS LES JUNGLES DE SCHWARZINDIEN
  • COMME JE NE POSSÉDAIS AUCUNE EXPÉRIENCE
  • AU PETIT MATIN, J’AI FAIT MON SAC
  • JE SUIS ENCORE BOULEVERSÉ
  • NOS ADIEUX À VIENNE
  • COMME JE TE L’ÉCRIVAIS DANS MA CARTE
  • PENDANT LA DEUXIÈME SEMAINE DE JUILLET
  • DE LA FUMÉE MONTAIT DU TAS DE FUMIER
  • J’AI CROISÉ MON ONCLE DANS LA RUE
  • LA DÉPOUILLE DE LA JEUNE ANNEMARIE SCHALLER
  • IL FAIT ENCORE ASSEZ CLAIR POUR ÉCRIRE
  • J’AI JETÉ UN COUP D’ŒIL DANS LES PIÈCES
  • VOILÀ PRÈS D’UN AN
  • À EICHBAUMECK, IL NE RESTERA BIENTÔT PLUS PERSONNE
  • TOUT S’EST PASSÉ TRÈS VITE
  • DES UNITÉS ALLEMANDES BATTANT EN RETRAITE
  • VOICI QUE JE REPLONGE DANS LES PROFONDEURS
  • L’ÉPAISSE FUMÉE DES LOCOMOTIVES À VAPEUR
  • DEPUIS QUE JE TENAIS EN LA PERSONNE DE MARGOT
  • INSTALLÉ SUR L’APPUI DE LA FENÊTRE
  • NOUS ATTENDIONS LE CAMION DE LA LAITERIE
  • SUPPLÉMENT AU RÉCIT

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