Critique de la faculté de juger Kant traduction, présentation, notes, bibliographie mise à jour (2015) et chronologie par Alain Renaut
Résumé
Une nouvelle traduction de ce texte qui assure la cohérence du système kantien en répondant à la question : comment articuler en l'homme la soumission à la nature ? Cette réflexion sur la loi et le droit est aussi un texte fondamental d'esthétique.
- Auteur :
- Kant, Immanuel (1724-1804)
- Editeur scientifique :
- Renaut, Alain (1948-....)
- Éditeur :
- [Paris], Flammarion, impr. 2015
- Collection :
- GF
- Genre :
- Essai
- Langue :
- français.
- Note :
- Bibliogr. p. 511-512. Index
- Description du livre original :
- 1 vol. (540 p.) ; 18 cm
- ISBN :
- 9782081366664.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Présentation
- I. Penser l'irrationnel
- La genèse de la Critique de la faculté de juger
- L'irrationnel, objet de la troisième Critique
- La systématicité de la nature
- De la première à la troisième Critique
- La querelle du panthéisme, arrière-plan de la Critique de la faculté de juger
- Idées régulatrices et principes de la réflexion
- Transformation de la raison
- II. Penser l'unité de la philosophie
- Philosophie théorique et philosophie pratique :
le paradigme de la communication esthétique - Nature et liberté
- De 1784 à 1790
- Une critique de la réflexion
- Le principe de l'unité de la philosophie
- La reprise approfondie du modèle de 1784
- Fin dernière et fin finale
- Droit et esthétique
- Qu'est-ce que l'homme ?
- Philosophie théorique et philosophie pratique :
- III. Penser les signes de l'humain
- Les exigences d'une fondation des sciences humaines
- Insuffisances épistémologiques de la solution de la troisième antinomie
- L'apport de l'antinomie de la faculté de juger téléologique
- Limites de l'apport kantien
- Pour une philosophie (critique) des sciences sociales
- I. Penser l'irrationnel
- Note sur la présente édition
- Première introduction
à la Critique de la faculté de juger-
- I De la philosophie comme système
- Remarque
- II Du système des pouvoirs supérieurs de connaître
qui est au fondement de la philosophie - III Du système de tous les pouvoirs de l'esprit humain
- IV De l'expérience comme constituant un système
pour la faculté de juger - V De la faculté de juger réfléchissante
- VI De la finalité des formes de la nature considérées
comme autant de systèmes particuliers - VII De la technique de la faculté de juger comme fondement
de l'idée d'une technique de la nature - VIII De l'esthétique du pouvoir de porter
des jugements appréciatifs- Remarque
- IX Du jugement d'appréciation téléologique
- X De la recherche d'un principe de la faculté de juger technique
- XI Introduction encyclopédique de la critique de la faculté de juger
dans le système de la critique de la raison pure - XII Division de la critique de la faculté de juger
- I De la philosophie comme système
-
- Critique de la faculté de juger
- Préface à la première édition
(1790) - Introduction
- I De la division de la philosophie
- II Du domaine de la philosophie en général
- III De la critique de la faculté de juger comme moyen de
relier en un tout les deux parties de la philosophie - IV De la faculté de juger comme pouvoir légiférant a priori
- V Le principe de la finalité formelle de la nature
est un principe transcendantal de la faculté de juger - VI De la liaison du sentiment de plaisir avec
le concept de la finalité de la nature - VII De la représentation esthétique de la finalité de la nature
- VIII De la représentation logique de la finalité de la nature
- IX
(195) De la liaison des législations de l'entendement
et de la raison par la faculté de juger
- Première partie Critique de la faculté de juger esthétique
- Première section Analytique de la faculté de juger esthétique
- Livre I Analytique du beau
- Premier moment du jugement de goût considéré selon la qualité
- Paragraphe 1
Le jugement du goût est esthétique - Paragraphe 2
La satisfaction qui détermine le jugement de goût est totalement désintéressée - Paragraphe 3
La satisfaction prise à l'agréable est associée à un intérêt - Paragraphe 4
La satisfaction prise au bien est associée à un intérêt - Paragraphe 5
Comparaison des trois sortes de satisfaction, qui sont spécifiquement différentes- (211) Définition du beau déduite du premier moment
- Paragraphe 1
- Deuxième moment du jugement de goût considéré selon sa quantité
- Paragraphe 6
Le beau est ce qui est représenté sans concept comme objet d'une satisfaction universelle - Paragraphe 7
Comparaison du beau avec l'agréable et le bien par l'intermédiaire de la caractéristique précédente - Paragraphe 8
L'universalité du plaisir n'est, dans un jugement de goût, représentée que de façon subjective - Paragraphe 9
Examen de la question de savoir si, dans le jugement de goût, le sentiment de plaisir précède le jugement d'appréciation porté sur l'objet, ou si c'est celui-ci qui précède
- Paragraphe 6
- Troisième moment des jugements de goût
envisagés d'après la relation des fins qui y sont considérées- Paragraphe 10
De la finalité en général - Paragraphe 11
(221) Le jugement de goût n'a à son fondement rien d'autre que la forme de la finalité d'un objet (ou du mode de représentation de cet objet) - Paragraphe 12
Le jugement de goût repose sur des principes a priori - Paragraphe 13
(225) Le pur jugement de goût est indépendant de l'attrait et de l'émotion - Paragraphe 14
Clarification par des exemples - Paragraphe 15
Le jugement de goût est totalement indépendant du concept de la perfection - Paragraphe 16
Le jugement de goût par lequel un objet est déclaré beau sous la condition d'un concept déterminé n'est pas pur - Paragraphe 17
De l'idéal de la beauté
- Paragraphe 10
- Quatrième moment du jugement de goût
considéré d'après la modalité de la satisfaction
résultant de l'objet- Paragraphe 18
Ce qu'est la modalité d'un jugement de goût - Paragraphe 19
La nécessité subjective, que nous attribuons au jugement de goût, est conditionnée - Paragraphe 20
La condition de la nécessité que revendique un jugement de goût est l'Idée d'un sens commun - Paragraphe 21
Peut-on avec quelque raison supposer un sens commun ? - Paragraphe 22
La nécessité de l'adhésion universelle à laquelle il est fait référence dans un jugement de goût est une nécessité subjective qui, sous la supposition d'un sens commun, est représentée comme objective - Remarque générale sur la première section de l'Analytique
- Paragraphe 18
- Premier moment du jugement de goût considéré selon la qualité
- Livre II Analytique du sublime
- Paragraphe 23
Passage du pouvoir de juger du beau à celui de juger du sublime - Paragraphe 24
De la division d'un examen du sentiment du sublime - A Du sublime mathématique
- Paragraphe 25
Définition nominale du sublime - Paragraphe 26
(251) De l'évaluation de la grandeur des choses de la nature qui est requise pour l'Idée du sublime - Paragraphe 27
De la qualité de la satisfaction dans le jugement portant sur l'appréciation du sublime
- Paragraphe 25
- B Du sublime dynamique de la nature
- Paragraphe 28
De la nature comme force - Paragraphe 29
De la modalité du jugement sur le sublime de la nature - Paragraphe 30
La déduction des jugements esthétiques sur les objets de la nature ne doit pas porter sur ce que nous y nommons sublime dans la nature, mais uniquement sur le beau - Paragraphe 31
De la méthode de la déduction des jugements de goût - Paragraphe 32
Première caractéristique du jugement de goût - Paragraphe 33
Seconde caractéristique du jugement de goût - Paragraphe 34
Il n'y a pas de principe objectif du goût qui soit possible - Paragraphe 35
Le principe du goût est le principe subjectif de la faculté de juger en général - Paragraphe 36
Du problème d'une déduction des jugements de goût - Paragraphe 37
Qu'affirme-t-on proprement a priori d'un objet dans un jugement de goût ? - Paragraphe 38
Déduction des jugements de goût - Paragraphe 39
De la communicabilité d'une sensation - Paragraphe 40
Du goût comme une sorte de sensus communis - Paragraphe 41
De l'intérêt empirique s'attachant au beau - Paragraphe 42
De l'intérêt intellectuel se rapportant au beau - Paragraphe 43
De l'art en général - Paragraphe 44
Des beaux-arts - Paragraphe 45
Les beaux-arts ne sont de l'art que pour autant qu'ils ont en même temps l'apparence de la nature - Paragraphe 46
Les beaux-arts sont les arts du génie - Paragraphe 47
Explicitation et confirmation de la précédente définition du génie - Paragraphe 48
(311) Du rapport du génie au goût - Paragraphe 49
Des pouvoirs de l'esprit qui constituent le génie - Paragraphe 50
De la combinaison du goût avec le génie dans les productions des beaux-arts - Paragraphe 51
De la division des beaux-arts - Paragraphe 52
De l'association des beaux-arts en un seul et même produit - Paragraphe 53
Comparaison de la valeur esthétique respective des beaux-arts - Paragraphe 54
Remarque
- Paragraphe 28
- Paragraphe 23
- Livre I Analytique du beau
- Deuxième section Dialectique de la faculté de juger esthétique
-
- Paragraphe 55
- Paragraphe 56
Présentation de l'antinomie du goût - Paragraphe 57
Solution de l'antinomie du goût - Paragraphe 58
De l'idéalisme de la finalité de la nature aussi bien que de l'art comme constituant le principe unique de la faculté de juger esthétique - Paragraphe 59
De la beauté comme symbole de la moralité - Paragraphe 60
AppendiceDe la méthodologie du goût
-
- Première section Analytique de la faculté de juger esthétique
- Deuxième partie Critique de la faculté de juger téléologique
-
- Paragraphe 61
De la finalité objective de la nature
- Paragraphe 61
- Première section Analytique de la faculté de juger téléologique
-
- Paragraphe 62
De la finalité objective, qui est simplement formelle, à la différence de la finalité objective matérielle - Paragraphe 63
De la finalité relative de la nature dans sa différence par rapport à la finalité interne - Paragraphe 64
Du caractère spécifique des choses en tant que fins naturelles - Paragraphe 65
Les choses en tant que fins naturelles sont des êtres organises - Paragraphe 66
Du principe du jugement d'appréciation porté sur la finalité interne dans les êtres organises - Paragraphe 67
Du principe du jugement qui apprécie téléologiquement la nature en général comme système des fins - Paragraphe 68
Du principe de la téléologie comme principe interne de la science de la nature
- Paragraphe 62
-
- Deuxième section Dialectique de la faculté de juger téléologique
-
- Paragraphe 69
Qu'est-ce qu'une antinomie de la faculté de juger ? - Paragraphe 70
Présentation de cette antinomie - Paragraphe 71
Préparation à la résolution de l'antinomie présentée ci-dessus - Paragraphe 72
Des différents types de systèmes sur la finalité de la nature - Paragraphe 73
Aucun des systèmes mentionnés n'accomplit ce qu'il prétend - Paragraphe 74
La cause de l'impossibilité de traiter dogmatiquement du concept d'une technique de la nature réside dans le caractère inexplicable d'une fin naturelle - Paragraphe 75
Le concept d'une finalité objective de la nature est un principe critique de la raison pour la faculté de juger réfléchissante - Paragraphe 76
Remarque - Paragraphe 77
(405) De la propriété de l'entendement humain en vertu de laquelle le concept d'une fin naturelle devient pour nous possible - Paragraphe 78
De la réunion du principe du mécanisme universel de la matière avec le principe téléologique dans la technique de la nature
- Paragraphe 69
-
- Appendice
Méthodologie de la faculté de juger téléologique-
- Paragraphe 79
Si la téléologie doit être traitée comme appartenant à la doctrine de la nature - Paragraphe 80
De la nécessaire subordination du principe du mécanisme au principe téléologique dans l'explication d'une chose comme fin naturelle - Paragraphe 81
De l'association du mécanisme au principe téléologique dans l'explication d'une fin naturelle comme produit de la nature - Paragraphe 82
Du système téléologique dans les relations extérieures des êtres organisés - Paragraphe 83
De la fin dernière de la nature comme système téléologique - Paragraphe 84
De la fin finale de l'existence d'un monde, c'est-à-dire de la création elle-même - Paragraphe 85
De la théologie physique - Paragraphe 86
De la théologie morale - Paragraphe 87
De la preuve morale de l'existence de Dieu - Paragraphe 88
Limitation de la validité de la preuve morale - Paragraphe 89
De l'utilité de l'argument moral - Paragraphe 90
De la modalité de l'adhésion dans une preuve téléologique de l'existence de Dieu - Paragraphe 91
De la modalité de l'adhésion produite par une croyance pratique
- Paragraphe 79
-
-
- Préface à la première édition
- NOTES
- Orientation bibliographique
- 1. Édition et traductions de la Critique de la faculté de juger
- 2. Ouvrages et articles portant en partie ou en totalité sur la Critique de la faculté de juger
- Chronologie
- Index des noms
- Index des matières
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