Encore la famille, toujours la Sardaigne, ou le contraire ça marche aussi, tous les romans de Miléna Agus ne parlent que de ça et à la longue cela devient lassant. Il serait bien que dans un futur proche la romancière sorte de son quartier et nous fasse voyager dans d'autres ailleurs. Le talant se n'est pas réécrire toujours la même page. Le propre d'un écrivain est d'imaginer, d'inventer et de faire rêver, mais en aucun cas de polycopier. Un roman pour celles et ceux, sardes peut être, qui, la redondance apprécient. Marc.