Table des matières

• Introduction
• Chapitre 1 À la recherche d’une définition : de l’espionnage
  au renseignement
  • 1. L’espionnage comme phénomène transhistorique
    • 1.1 Des Thermopyles au père Joseph, l’espionnage à travers les âges
    • 1.2 Sun Tzu, notre contemporain ?
  • 2. La Renaissance et la naissance des savoirs
    d’État (XVIe-XVIIIe siècles) : diplomatie, police,
    raison d’État
    • 2.1 Renseignement et raison d’État
    • 2.2 Espions et ambassadeurs : Giovanni Botero, les relazioni vénitiennes
      et l’invention du renseignement
  • 3. Le renseignement : institutionnalisation, rationalisation, bureaucratisation
    (XIXe-XXe siècles)
    • 3.1 Le développement des bureaucraties
      du renseignement
    • 3.2 Le schème wébérien : le renseignement comme organisation complexe
  • 4. « Wanted : une définition
    du renseignement »
    • 4.1 L’impossibilité de fixer une définition unique et opératoire
    • 4.2 Le contexte de 1949, Sherman Kent et la définition originelle du renseignement comme type de savoir
    • 4.3 La profusion de définitions professionnelles
    • 4.4 Vers une définition consensuelle :
      savoir, action, secret
  • 5. Conclusion
• Chapitre 2 Le cycle du renseignement
  • 1. Le cycle du renseignement
    et ses propriétés
    • 1.1 Planifier, recueillir,
      traiter, analyser, diffuser
    • 1.2 La valeur heuristique du cycle
  • 2. Un modèle perpétuellement contesté
    • 2.1 Inefficace : la critique professionnelle
    • 2.2 Incertain : la critique académique
  • 3. Des alternatives au cycle :
    Michael Herman
    et David Omand
    • 3.1 Le schème de Michael Herman
    • 3.2 Le réseau interactif de David Omand
  • 4. Une représentation
    toujours actuelle
    • 4.1 Une formalisation toujours en vigueur
    • 4.2 Une notion incontournable
  • 5. Conclusion
• Chapitre 3 Les services de renseignement
  • 1. Renseignement extérieur, intérieur et militaire
    • 1.1 Le renseignement stratégique
      ou extérieur (CIA, Mossad, MI6, DGSE…)
      
    • 1.2 Le renseignement policier et de sécurité ou intérieur (FBI, MI5, DGSI, FSB…)
    • 1.3 Le renseignement militaire
      (DIA, DRM, Aman, GRU…)
  • 2. Les disciplines du recueil
    • 2.1 Le renseignement humain
      et le renseignement technique
      
    • 2.2 Une spécialisation croissante
      (un monde en « -INT »)
    • 2.3 Renseignement « mono-source »,
      « toute-source » et « fusion »
  • 3. Les architectures nationales
    de renseignement
    et de sécurité
    • 3.1 Les architectures « simples »
    • 3.2 L’Intelligence Community américaine
    • 3.3 L’« Intelligence Machinery » britannique
      
    • 3.4 La formation récente d’une communauté du renseignement française
  • 4. Centralité et limites
    de la coopération
    • 4.1 Les coopérations internationales
    • 4.2 Le cas de la coopération européenne
  • 5. Conclusion
• Chapitre 4 L’analyse et le policy making :
  usages et mésusages du renseignement
  • 1. L’analyse du renseignement
    • 1.1 Qu’est-ce qu’un bon analyste ?
    • 1.2 L’obstacle principal : les biais cognitifs
  • 2. L’interaction renseignement-décideurs politiques
    et le poids de la bureaucratie
    • 2.1 Le poids des pathologies bureaucratiques
    • 2.2 La centralité de la relation
      producteur-consommateur
  • 3. La politisation
    du renseignement
    • 3.1 Les paradoxes récurrents
      de la politisation
    • 3.2 L’analyste à l’épreuve de la politisation :
      le Kent model et le Gates model
  • 4. Les échecs du renseignement
    • 4.1 Quel échec ? Quels échecs ?
    • 4.2 Une issue crédible ?
      Renseignement et storytelling
  • 5. Conclusion
• Chapitre 5 L’action secrète
  • 1. Covert action, action spéciale et action clandestine, le piège des mots
    • 1.1 L’action clandestine au cœur
      de la méthodologie du renseignement
    • 1.2 Un outil séduisant mais
      à double tranchant ?
  • 2. L’approche stratégico-militaire : l’action des forces spéciales (covert action)
    • 2.1 L’héritage de la Seconde Guerre mondiale et la pensée stratégique
    • 2.2 La collecte du renseignement militaire
      et d’intérêt militaire
    • 2.3 La centralisation des forces spéciales
      dans l’architecture militaire des États
  • 3. L’action spéciale
    • 3.1 La politique du light footprint
      dans la politique étrangère
      de Barack Obama
    • 3.2 Les opérations de souveraineté
      (le cas des éliminations ciblées)
  • 4. L’action clandestine :
    des PsyOps
    à la political action
    • 4.1 Déstabilisation,
      coups de force et coups d’État
    • 4.2 De l’influence aux PsyOps :
      la guerre psychologique
      et informationnelle
    • 4.3 Les différents niveaux
      de l’« action politique »
  • 5. Conclusion
• Chapitre 6 Éthique et responsabilité
  • 1. La question des mains sales :
    arrestations extrajudiciaires, torture, assassinats
    • 1.1 L’éthique à l’épreuve
      des circonstances exceptionnelles
    • 1.2 Retrouver le lien entre éthique
      et renseignement ?
  • 2. Le problème de l’espionnage entre « amis »
    • 2.1 L’indifférence des logiques de renseignement à l’amitié/inimitié
    • 2.2 « Faites confiance, mais vérifiez »
  • 3. Le renseignement
    saisi par l’État de droit :
    le contrôle parlementaire
    • 3.1 Le contrôle parlementaire
    • 3.2 La diffusion de l’exigence
      du contrôle parlementaire
  • 4. Le contrôle juridictionnel
    et administratif
    • 4.1 Le contrôle du renseignement intérieur
    • 4.2 Quel contrôle pour le renseignement extérieur ?
  • 5. Conclusion
• Chapitre 7 Le renseignement
  saisi par la sécurité
  • 1. Sécurité nationale :
    le lien historique et originel
    avec le renseignement
    • 1.1 Une définition provisoire de la sécurité
    • 1.2 Renseignement et sécurité nationale
  • 2. Sécurité internationale :
    le renseignement au prisme du réalisme et de l’idéalisme
    • 2.1 Le fondement réaliste : le renseignement et le dilemme de la sécurité
    • 2.2 L’alternative idéaliste :
      le renseignement pour la paix ?
  • 3. Le tournant constructiviste
    et critique : représentations
    et esthétisation
    • 3.1 L’apport du constructivisme :
      le poids des représentations dans l’analyse
    • 3.2 Le tournant esthétique :
      la fiction au secours du politiste
  • 4. Inflation de la menace, securitization et centralisation du renseignement
    • 4.1 L’inflation de la menace
    • 4.2 Le renseignement et le paradigme
      de la securitization
    • 4.3 Le contexte post-11 Septembre
      et la centralisation du renseignement
      dans les dispositifs de sécurité
  • 5. Conclusion
• Conclusion
• Bibliographie
  • Chapitre 1
  • Chapitre 2
  • Chapitre 3
  • Chapitre 4
  • Chapitre 5
  • Chapitre 6
  • Chapitre 7