J'ai tant rêvé de toi : roman Olivier Poivre d'Arvor et Patrick Poivre d'Arvor

Résumé

Roman. « Mon existence durant, je m’en souviendrai. De ce voyage vers lui. De cette guérison à coups de serpe. Et de Prague qui tout le jour n’a su émerger de ses brumes, ni le ciel se délester de sa neige.» (O. et P.P.D.A.) « Réflexion sur le mensonge, la psychanalyse, la paternité et l’Histoire, un roman complexe, dérangeant et terriblement personnel. » Jean-Rémy Barland, Lire. « Fiévreux, bouleversant, intense et lumineux. » Serge Rafy, Le Nouvel Observateur. « Un roman poétique, dense. Une plume poignante qui retient l’attention jusqu’à la dernière page. » Matin Plus. « Une poésie sensuelle, parfois brutale. » Serge Sanchez, Le Magazine littéraire. « On est déchiqueté par la violence éruptive qui hante chaque ligne de ce livre crépusculaire… Jamais les rêves des frères Poivre d’Arvor n’ont eu autant de prise sur l’âme de leurs lecteurs. » Albert Sebag, Le Point. « Tout le talent des frères Poivre d’Arvor. » Pèlerin. « Chacun y lira les arcanes de ses propres tourments jusqu’aux retrouvailles finales, celles d’un être réconcilié avec lui-même. » Clara Dupont-Monod, Marianne. « Poétique et puissant. » Emmanuelle de Boysson, Marie-Claire. « Une intrigue aussi poétique que romanesque, délicatement brodée par deux frères qui jouent à l’unisson de leur sensibilité à fleur de peau. » Gala. « Un roman très abouti, qui mêle subtilement histoire et réflexion sur le mensonge et l’imposture littéraire. Poignant. » Isabelle Courty, Le Figaro Magazine. « Les frères Poivre d’Arvor surfent brillamment entre histoire et fiction. » J.-B. Vuillème, Le Temps (Suisse). « Sur le thème père-fille, une belle symphonie tchèque. Encore une fois, les frères Poivre démontrent leur habileté à tisser une histoire et leur capacité à séduire. » L’Express. « Une tentative émouvante de donner à une absente la possibilité d’une seconde chance… Des pages fortes qui résonnent comme des mots d’excuse. » Mohammed Aïssaoui, Le Figaro. « Tendre et violent, mature et fragile… Une belle preuve du talent confirmé des frères d’Arvor. » Thomas Yadan, Evene.fr

Auteur  :
Poivre d'Arvor, Olivier (1958-....)
Co-auteur :
Poivre d'Arvor, Patrick (1947-....)
Éditeur :
[Paris], Albin Michel,
Langue :
français.
Pays :
France.
Description du livre original :
1 vol. (257 p.) : jaquette ill. en coul. ; 20 cm
ISBN :
9782226179777.
Domaine public :
Non
Téléchargement du livre au format PDF pour « J'ai tant rêvé de toi »

Table des matières

  • 1 Craignez de réveiller la furtive endormie
  • 2 Les ongles des femmes seront des cygnes étranglés
  • 3 La prodigieuse marée commence enfin, il vient des amants de partout
  • 4 De cocasses créatures d'ombre doivent se rouler et se combattre et s'embrasser ici
  • 5 Comme une main à l'instant de la mort
  • 6 Racontez-moi des histoires
  • 7 À l'aube d'un jour de coup de dés
  • 8 À la révolution / à l'amour / à celle qui les incarne
  • 9 J'ai tant rêvé de toi
  • 10 Je deviendrais une ombre, sans doute
  • 11 La liberté ou l'amour
  • 12 Je voudrais naître chaque jour sous un ciel neuf
  • 13 La ville aux rues sans nom du cirque cérébral
  • 14 Ils ont l'air de célébrer le mariage de la solitude et de la nuit
  • 15 Dans bien longtemps tu m'as aimé
  • 16 Baigne son front désaltère sa bouche
  • 17 Le livre secret pour Youki
  • 18 Que nul ne les atteigne ni ne les sépare
  • 19 Les draps se saliront sans être froissés
  • 20 On dit qu'en grand mystère...
  • 21 Les lois de nos désirs sont des dés sans loisir
  • 22 J'aime vos cous marqués de coups
  • 23 Comme une main à l'instant de la mort
  • 24 Une maladie passagère et sentimentale
  • 25 Deuil pour deuil
  • 26 Je suis rêveuse et fragile
  • 27 Confident des Sibylles
  • 28 Adieu je partirai comme on meurt un matin
  • 29 Parle saigne et crève
  • 30 Ce qu'il reste de sel après qu'on a pleuré
  • 31 Les belles mourus-je d'amour
  • 32 Je suis le vers témoin du souffle de mon maître
  • 33 Voici venir les jours où les OEuvres sont vaines - ou nul bientôt ne comprendra ces mots écrits
  • 34 Que rien ne peut séparer la sirène de l'hippocampe...
  • 35 Dans ta vie ensoleillée
  • 36 J'entrerai dans tes vagues
  • 37 La tempête cOEur du monde
  • 38 Mais je connais une chanson bien plus belle...
  • 39 Et le corps du plus vicieux reste pur
  • 40 Nous boirons toute la nuit si tu le désires
  • 41 Vivants, ne craignez rien de moi car je suis mort
  • 42 Et lentement, je neigerai sur sa bouche

Commentaires

Laisser un commentaire sur ce livre