Feuilles d'herbe Walt Whitman
Résumé
La plus grande poésie des temps modernes, égale à celle d'Homère, Shakespeare et Dante, sonne dans ces Feuilles d'herbe. Elles eurent pour créateur un solitaire américain poussé comme un gratte-ciel dans un désert inculte de maisons à bas étages. En 1855, Walt Whitman, de Brooklyn et de Manhattan, fit claquer ses vers comme des drapeaux de joie pour célébrer un seul et unique patriotisme : l'homme! L'homme de tous les temps, couleurs ou religions. Osons ce paradoxe : jamais les bons sentiments ne firent de meilleure littérature.
- Auteur :
- Whitman, Walt
- Éditeur :
- Grasset et Fasquelle, 1989
- Genre :
- Poésie
- Langue :
- français.
- ISBN :
- 2246404827.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Note de l'adaptateur
- Préface
- LA TRAVERSÉE JUSQU'À WHITMAN
- C'est moi que je célèbre... (Song of Myself, mille huit cent cinquante cinq)
- 1.
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- 52.
- De Brooklyn à Manhattan par le bac (Crossing Brooklyn Ferry, mille huit cent cinquante six)
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- 4.
- 5.
- 6.
- 7.
- 8.
- 9.
- Descendance d'Adam (Children of Adam, mille huit cent soixante)
- JUSQU'AU JARDIN LE MONDE
- DEPUIS LA PRISON DES RIVIÈRES DOULOUREUSES
- JE CHANTE LE CORPS ÉLECTRIQUE
- 1.
- 2.
- 3.
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- 8.
- 9.
- JE SUIS ATTENDU PAR UNE FEMME
- MON MOI SPONTANÉ
- UNE HEURE POUR LA FOLIE, POUR LA JOIE
- PAR CE MOUVANT OCÉAN LA FOULE
- LE MANÈGE DES ÂGES PAR CYCLES S'EN REVENANT
- VICTIMES D'UNE SI LONGUE ILLUSION TOUS LES DEUX
- HYMEN ! OH ! HYMÉNÉE !
- JE SUIS CELUI À QUI L'AMOUR DE L'AMOUR FAIT MAL
- MOMENTS NATURELS
- UN JOUR PASSANT PAR UNE CITÉ POPULEUSE
- DOUCEUR SOLENNELLE DE L'ORGUE JE TE GARDE AU TUYAU DE MON OREILLE
- REGARDANT VERS L'OUEST DEPUIS LA CÔTE CALIFORNIENNE
- COMME AU MATIN ADAM DE TRÈS BONNE HEURE
- Calamus (Calamus, mille huit cent soixante)
- PAR LES SENTIERS VIERGES
- MON SEIN À TOISON D'HERBE PARFUMÉE
- TOI QUI QUE TU SOIS, QUI M'AS À CETTE HEURE DANS TA MAIN
- POUR TOI DÉMOCRATIE
- CES VERS QUE JE CHANTE AU PRINTEMPS
- BIEN MOINS DANS CES SOUPIRS QUI SOULÈVENT LA CAGE DE MES CÔTES
- QUANT AU DOUTE ANGOISSANT SUR LES APPARENCES
- AU PRINCIPE DE TOUTE MÉTAPHYSIQUE
- MÉMORIALISTES DANS LES ÂGES FUTURS
- AU SOIR LA NOUVELLE M'EST VENUE
- ÊTES-VOUS L'HOMME NOUVEAU ATTIRÉ PAR MON INFLUENCE ?
- EN SOI SEUL CE SONT FEUILLES ET RACINES
- FLAMMES NE BRÛLENT NI NE CONSUMENT
- UNE À UNE, GOUTTES, TOMBEZ !
- VILLE DES ORGIES
- REGARDEZ-MOI CETTE PEAU BASANÉE
- EN LOUISIANE J'AI VU GRANDIR UN CHÊNE VERT
- ÉTRANGER, ÉTRANGÈRE QUI PASSES
- PENSIF ET LANGUISSANT EN CETTE MINUTE MÊME
- J'APPRENDS QU'ON M'ACCUSE
- ÉCARTANT L'HERBE DE LA PRAIRIE
- QUAND JE PASSE EN REVUE LES GLOIRES ACQUISES
- ENFANTS ENSEMBLE L'UN À L'AUTRE ATTACHÉS
- CHOSE PROMISE À LA CALIFORNIE
- C'EST ICI QUE SONT MES FEUILLES LES PLUS FRÊLES
- LA MACHINE À ÉCONOMISER LE TRAVAIL
- UN PETIT COUP D'OEIL RAPIDE
- CETTE FEUILLE POUR SE TENIR ENSEMBLE PAR LA MAIN
- TERRE, MON IMAGE
- EN UN RÊVE J'AI RÊVÉ
- POUR QUOI CROYEZ-VOUS QUE JE PRENNE LA PLUME ?
- POUR L'EST COMME POUR L'OUEST
- ENVERS CELUI QUE J'AIME, QUELQUEFOIS
- POUR UN GARÇON DE L'OUEST
- AMOUR, ANCRE IMMUABLE D'ÉTERNITÉ !
- DANS LA FOULE DES HOMMES ET DES FEMMES
- TOI QUE SOUVENT JE FRÉQUENTE EN SILENCE
- CETTE OMBRE MON IMAGE
- MOI, RESPLENDISSANT DE VIE À LA SECONDE MÊME
- Bois flottant sur la mer (Sea-Drift, mille huit cent cinquante neuf)
- COMME L'OCÉAN DE LA VIE M'EMPORTAIT AVEC SON REFLUX
- 1.
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- 3.
- 4.
- DES LARMES
- À L'OISEAU GALION
- SUR LE PONT À LA BARRE
- LA NUIT SUR LA PLAGE
- PLUS BAS QUE LE SEL DE LA MER
- SEUL SUR LA PLAGE LA NUIT
- CHANSON POUR TOUS LES OCÉANS ET TOUS LES NAVIRES DU GLOBE
- PATROUILLE À BARNEGAT
- DANS LE SILLAGE DU VAISSEAU
- COMME L'OCÉAN DE LA VIE M'EMPORTAIT AVEC SON REFLUX
- Chanson de la piste ouverte (Song of the Open Road, mille huit cent cinquante six)
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- Images du Président Lincoln dans nos mémoires (Memories of President Lincoln, mille huit cent soixante cinq)
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- Ô MON CAPITAINE !
- QU'ON OBSERVE LE SILENCE AUJOURD'HUI DANS LES CAMPS
- POUSSIÈRE EST À PRÉSENT CE QUI FUT L'HOMME
- L'embarquement pour l'Inde (Passage to India, mille huit cent soixante huit)
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- 9.
- Prière de Christophe Colomb (Prayer of Columbus, mille huit cent soixante quatorze)
- Ils dorment (The Sleepers, mille huit cent cinquante cinq)
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- 7.
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