La guerre des anges José Eduardo Agualusa traduit du portugais (Angola) par Geneviève Leibrich
Résumé
Les morros et les favelas de Rio sont en flammes, la police, sous couvert de répression du trafic de drogue, a mitraillé une procession religieuse et tué des enfants. Le jour approche où cette guerre va descendre sur la ville et les beaux quartiers du bord de mer. Francisco, un ancien colonel de la Sécurité en Angola, installé au Brésil pour fuir les pièges d'un amour féroce et les tourments de sa mémoire, prépare ce jour en vendant des armes. Un journaliste angolais plonge dans cet incendie à la recherche de réponses aux questions que peu de gens veulent bien se poser. Racisme ou mépris social ? Émeute ou révolte d'esclaves ? José Eduardo Agualusa crée dans une prose limpide des personnages inoubliables, Jararaca, le jeune chef de bande charismatique, Catiavala, le colonel à la voix de Nat King Cole, Euclides, le journaliste nain, Jacaré le rappeur fou de drogue, Anastacia la spécialiste de l'ayahuasca et des vagins dentés, Florzinha la belle vénéneuse, Monte le tortionnaire rédacteur de discours présidentiels... Un grand roman littéraire dans lequel la fiction est rattrapée par l'actualité.
- Auteur :
- Agualusa, José Eduardo (1960-....)
- Contributeur :
- Leibrich, Geneviève (1935-....)
- Éditeur :
- Métailié, 2007
- Collection :
- Bibliothèque portugaise
- Genre :
- Roman
- Langue :
- français.
- Description du livre original :
- 1 vol. (279 p.) : couv. ill. ; 22 cm
- ISBN :
- 9782864246015.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- La fin, comme si c’était le commencement
- Rio de Janeiro, Morro da Barriga, vingt novembre, quatre heures de l’après-midi.
- Mort et résurrection d’Euclides Matoso da Cámara
- Rio de Janeiro, foire de Sâo Cristovâo, dix-huit heures quinze minutes.
- Rio de Janeiro, motel Carinhoso, cinq heures trente.
- Rio de Janeiro, pension Esperança, sept heures quinze.
- Rio de Janeiro, lagune Rodrigo de Freitas, quinze heures.
- Rio de Janeiro, restaurant colonial, hôtel Gloria, vingt heures.
- Vagin denté
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, quatre heures du matin.
- Rio de Janeiro, hôpital royal portugais, dix-huit heures.
- Rio de Janeiro, aéroport du Galeâo, quinze heures / restaurant Yorouba, presque vingt et une heures.
- Rio de Janeiro, hôtel Gloria, nuit noire.
- Rio de Janeiro, Morro da Barriga, quinze heures.
- Rio de Janeiro, plage d’Ipanema, poste neuf, onze heures.
- Rio de Janeiro, salon de the colombo, le soir tombe.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, environ quatre heures du matin.
- Noir de naissance
- Rio de Janeiro, Morro Da Barriga, lundi matin.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, trois heures de l’après-midi.
- Rio de Janeiro, hôtel Gloria, sept heures / Morro da Barriga, matinée très ensoleillée.
- Rio de Janeiro, Ipanema, appartement de Jorge et Barbara Velho. Nuit du vendredi.
- Rio de Janeiro, hôtel Gloria, samedi après-midi / salon de thé Colombo, cependant qu’une eau sombre tombe sur la ville.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, deux heures du matin.
- Rio de Janeiro, pension Esperança, dix heures, par un matin cristallin.
- Rio de Janeiro, Ipanema, club français, quinze heures.
- Rio de Janeiro, Morro da Barriga, dimanche soir.
- Rio de Janeiro, Morro da Barriga, mardi matin.
- Les tueurs
- Corumba, café Destino, samedi, par un sombre après-midi de pluie.
- Rio de Janeiro, hôtel Gloria, mardi matin. Une lumière immense flotte au-dessus de la ville.
- Rio de Janeiro, santa Teresa, bar Sobrenatural, dix heures du soir.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, deux heures du matin.
- Rio de Janeiro, hôtel Gloria. Six heures du soir.
- Rio de Janeiro, Leblon, galerie Aradia, dix-huit heures.
- Rio de Janeiro, gymnase de la lagune, dix heures. Cinélandia, douze heures trente.
- Ilha Grande, Saco Do Ceu, seize heures.
- Rio de Janeiro, Morro da Barriga, sept heures du matin.
- Bonjour liberté!
- Luanda, palais dans la ville haute, quatorze heures trente.
- Rio de Janeiro, Ipanema, appartement de Jorge et Barbara Velho. Samedi matin.
- Rio de Janeiro, morro da Barriga, cinq heures de l’après-midi.
- Rio de Janeiro, Ipanema, appartement de Jorge et Barbara Velho, la nuit.
- Rio de Janeiro, Ipanema, club français, par un après-midi ensoleillé.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, quatre heures du matin.
- Luanda, palais de la haute ville, quatorze heures trente-huit minutes.
- Il n’y a pas de fin heureuse
- Rio de Janeiro, bord de la lagune, appartement de la femme que Francisco Palmares appelle l’ange bleu, vingt novembre, seize heures.
- Rio de Janeiro, Ipanema, club français, la nuit.
- Gloria, front Est, la nuit.
- Rio de Janeiro, immeuble Apolo, appartement de Pedro de Almeida.
- Rio de Janeiro, rue du jardim botànico, deux heures de l’après-midi, sous un grand soleil d’été.
- Rio de Janeiro, bord de la lagune, appartement de la femme que Francisco Palmares appelle l’ange bleu. La nuit.
- Rio de Janeiro, jardin botanique, appartement d’Anastacia Hadock Lobo, la nuit.
- Rio de Janeiro, Ipanema, club français, la nuit.
- Ipanema, association des habitants du morro du Pavao / belvédère septième ciel, morro dois irmaos, aube du 20 novembre.
- Luanda, brasserie Biker. Octobre. Un doux crépuscule.
- Budapest, hôtel Gellert, par un matin d’hiver.
- Le commencement, comme si c’était la fin
- Rio de Janeiro, morro da Barriga, vingt novembre, seize heures vingt.
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